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La logique du sujet face à la reconstruction du nazisme

#6.1 • La Logique du Sujet • saison 6 / 2019-20

1°/ Introduction : - feinte et/ou sincère : l’hésitation à entrer dans le sujet. N’y-a-t-il pas des matières autrement passionnantes que cet écheveau de sévères abstractions promises par “La logique du sujet”, ou, à l’opposé, le concret le plus innommable, cet horrible fumier sur lequel se reconstitue le nazisme, sous nos yeux,comme jamais depuis sa défaite? Pourquoi ne pas délivrer plutôt, cette 'Histoire de la musique' réclamée incessamment  par les familiers de nos publications, à commencer par un hommage à l’immense soprano lyrico-dramatique Jessye Norman récemment disparue?  Une forfaiture non moins innommable accomplie le 19 septembre dernier  au cœur institutionnel de l’Union Européenne en a décidé autrement, en identifiant le bourreau et sa victime, le SS et le “judéo-bolchevique”. 


2°/ Transition du politico-musical  au philosophique, via le poème d’Aragon:  “Le paysan de Paris chante” 


3°/ “Du sujet enfin en question” : 

- Après ce sujet qui chante, voici le sujet qui parle. Nous avons tous commencé à balbutier la notion de sujet sur les bancs de la communale,aux prises avec cette réflexion(ce retour sur soi) sur le logos qui se nomme grammaire en langue scolaire: Le sujet est celui qui répond à la question “Qui est-ce qui ?” 

- conjonction ou disjonction du QUI? et du QUOI? 

- le vent est il un sujet ou un objet, lorsque l'on dit qu’il “agite les arbres QUI ou QUOI parle?  La voix du Paysan de Paris, lorsque elle chante, n’est elle, comme le vent,que cette voix, “Qui se connaît quand elle sonne N’être plus la voix de personne Tant que des ondes et des bois!” (P.Valéry/La pythie)

#6.1-1/2 - Prélude • D.Pagani / Lacan : Fonction et champs de la parole et du langage

« Il court il court, le sujet... » avons-nous rappelé, le 11 octobre dernier, évoquant une comptine des plus familières. Plus mobile, même, que « La truite qui file » (1), il nous avait filé entre les doigts au moment même où nous avions pensé l’avoir saisi, à peine sorti des lèvres de nos instituants : 

« Instituteur » ou « Maîtresse ! », ils nous ont en effet rendu l’immense service de nous apprendre à l’attraper à condition qu’on pose la question « Qui est-ce qui...? », c’est assez dire... à l’expresse condition que l’on commence par un retour sur la langue, (où l’on voit déjà se pointer la Widerholungzwang, ou « Pulsion de répétition », en laquelle Freud repère génialement la pulsion de mort émanant du seul « Moi »). 


Autant dire que le sujet ne se laisse saisir que lorsque l’on commence à parler. « Les pulsions de mort progressent en silence » dit-Freud au plus près. Et aussitôt, le sujet s’est manifesté, dans le mouvement de s’adresser à un autre sujet : Du « Qu’appelles-tu… ? » de Socrate, initiant la seule interrogation proprement philosophique, en passant par Descartes, écrivant, « enfin il faut conclure, et tenir pour constant que cette proposition : Je suis, j’existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit. » ; et bien-sûr Hegel, qui rappelle dans la préface à sa « grande » logique qu’« En tout ce qui devient pour lui (l’homme), quelque chose d’intérieur (...) tout ce qu’il fait sien, le langage s’est immiscé ». Ce vaste mouvement réflexif donne une singulière épaisseur temporelle au recentrage opéré par Lacan, du « Champ freudien », autour de la parole. 


« Le donné de cette expérience est d’abord du langage, un langage, c’est-à-dire un signe. De ce qu’il signifie, combien complexe est le problème, quand le psychologue le rapporte au sujet de la connaissance, c’est-à-dire à la pensée du sujet. Quel rapport entre celle-ci et le langage ? N’est-elle qu’un langage, mais secret, ou n’est-il que l’expression d’une pensée pure, informulée ? Où trouver la mesure commune aux deux termes de ce problème, c’est-à-dire l’unité dont le langage est le signe ? Est-elle contenue dans le mot : le nom, le verbe ou bien l’adverbe ? Dans l’épaisseur de son histoire ? Pourquoi pas dans les mécanismes qui le forment phonétiquement ? Comment choisir dans ce dédale où nous entraînent philosophes et linguistes, psychophysiciens et physiologistes ? Comment choisir une référence, qui, à mesure qu’on la pose plus élémentaire, nous apparaît plus mythique. Mais le psychanalyste, pour ne pas détacher l’expérience du langage de la situation qu’elle implique, celle de l’interlocuteur, touche au fait simple que le langage avant de signifier quelque chose, signifie pour quelqu’un. »(2) 


Plusieurs de nos auditeurs nous ayant signifié la difficulté que présente l’abord immédiat du style lacanien, il nous a paru utile, et même nécessaire, entre deux sessions mensuelles, de les y préparer tant soit peu, au travers de la causerie qui suit. (1) « La truite qui file » : cf. https://fr.m.wikisource.org/wiki/Ang%... (2) J.Lacan : Au-delà du principe de réalité/in Ecrits

#6.2 • La Logique du Sujet face à la reconstitution du nazisme

#6.3 • La Logique du Sujet face à la reconstitution du nazisme

De la substance au sujet :

• Leur conjonction dans la philosophie antique

• Leur disjonction dans la pensée moderne

• Du « Connais-toi,toi-même », au « Je est un autre »,

• En passant par    - La multiplicité des essences (Platon)   - La multiplicité des substances (Aristote)   - La substance auto-posée comme sujet (Descartes)   - L’unicité de la substance (Spinoza)

MINUTAGE

00:02:00 / Présentation : feuilleton de l’évolution des relations entre substance et sujet N.B. étymologie commune (sub/stare : ”Reposer dessous” = gésir…)

00:11:30 / Hegel : « Appréhender et exprimer le vrai, non plus comme substance mais aussi et précisément  comme sujet »

00:12:45 / La philosophie à l’école, en classe terminale : le moment de la Réflexion

00:15:00 / Toute réflexion suppose qu’il y ait quelque chose devant le miroir,

00:16:00 / Saint Thomas d’Aquin choisit Aristote pour argumenter; la scholastique.

00:17:30 / Antiquité – Moyen âge – Temps modernes

00:25:00 / Luther, traduction de la bible en allemand, Le pédagogique, antichambre du politique (Rabelais, Montaigne, Rousseau)

00:27:30 / Hegel : passage de la substance au sujet

00:32:00 / Éric Weil « Hegel et l’État »

00:39:00 / Le naturalisme grec, c’est le providentialisme écologiste... plus l’intelligence!

00:41:00 / Immanence VERSUS Transcendance

00:46:00 / Lénine les états de la matière dans Matérialisme et empirio-criticisme

00:53:00 / Monisme - Dualisme (3ème distinction).Le composé de matière et de forme :La distinction est logique / La séparation est ontologique

00:54:00 / Foucault « Les mots et les choses »

00:55:00 / Kipling « Histoires comme ça »

01:00:00 / Hegel contre le culte romantique de l’intuition : « C’est dans le concept seul que la vérité trouve l’élément de son existence. » (lecture commentée)

01:20:00 / Reprise des questions du public

01:28:00 / Faiblesse et/ou pauvreté du secret = Faux mystère = Mystification; Sphinx : “Le symbole du symbole”

01:33:00 / Du choral luthérien au gospel : forme africaine de la résistance

01:37:00 / De l'identité antique à l'altérité moderne : du ‘Connais-toi toi-même’ au ‘Je est un autre" / La scission immanente au sujet : principe de modernité

01:39:00 / Questions du public

01:41:00 / Marthe Robert, Kleist et Kafka (La colonie pénitentiaire)

01:47:00 / Différence entre le simple conservateur et le réactionnaire (Agressivité de toute Contre-révolution)

01:49:00 / Restauration de “la solidité compacte de l’être”

01:50:00 / Les 3 blessures narcissiques nécessaires à l’éclosion de la modernité : - Révolution copernicienne, théorie de l’évolution et excentration freudienne du sujet réduit à la seule conscience.

01:51:00 / Le statut ontologique de l’individu.

01:52:00 / Le nazisme comme stade final de la Destruction de la raison (Georg Lukács)

01:55:00 / La relation (ce qui est par et pour un autre) comme la vérité de la substance (ce qui est en et par soi)   « Il n’y a personne, ici et il y’a quelqu’un» (Rimbaud/Saison en enfer) « VIIIème veille » de Bonaventura : «Prologue d’Arlequin à la tragédie "L’homme"» Conclusion : Il n’y a de vraie liberté que sur fond de déterminisme.

#6.4 • La Logique du Sujet face à la reconstitution du nazisme

00:00:00 / Résumé Atelier précédent 

00:02:00 / mise en regard de la place des Vosges (Uniformité),et d’un espace de  banlieue : paradoxe de l’intérêt suscité par le ‘Même’ versus l’ennui de la (Fausse) ‘diversité’; Passage en deux millénaires du sujet “par lui-même” (substance) au sujet par-et pour- l’ autre. 

00:06:00 / Annerkennung (dialectique de la reconnaissance) chez Hegel  (traduction Jean Hyppolite) : « une conscience de soi n’est en soi et pour soi que lorsqu’elle est en soi et pour soi pour une autre conscience de soi, c’est-à-dire pour autant qu’elle est reconnue. » N.B. Cette reconnaissance n’est véritablement gratifiante-Et donc, constitutive, sI et seulement si elle est censée être librement octroyée. 

00:09:00 / Le contraire du reconnaître:Le  « Dé-connaître » ; un exemple, le regard du chef de service Panwitz sur Primo Levi, à Auschwitz 

00:15:00 / Domenico Losurdo « Nietzsche, le rebelle aristocratique » : Lothrop Stoddard ,premier usage du syntagme de “Sous-homme”« I’underman » anglo-saxon,avant « L’untermensch »allemand. 

00:22:45 / Interview de Johann Chapoutot sur la parution de « Libres d’obéir; le management, du nazisme à aujourd’hui » 

00:29:30 / Projection video de son passage sur  FranceCulture 

00:33:00 / Verwaltung (administration Jacobine à la française), relation à l’état vs. Menschenführung 

00:36:00 / Clouscard, « Le Capitalisme de la séduction » 

00:40:00 / 2 décembre1972 :Clash anti-PCF  du” petit” Parti Radical, approuvé par F. Mitterrand, signant la fin des “Trente glorieuses”  

00:43:30 / Distinction décisive entre Etat et Appareil d’Etat 

00:44:30 / LE SS juriste Reinhard Höhn, le ‘Josef Mengele’ du droit initiateur du “New management” européen ,dès l’immédiat après-guerre! 

00:48:00 / Blanchiment européen des “Alt kameraden” nazis et genèse du « miracle » allemand 

00:54:00 / Matrice brune du “néo- libéralIsme démocratique” 

00:54:30 / La « liberté »  nazie,: Celle du guerrier vainqueur de son esclave 

00:55:30 / La Pacification du territoire produit son expression poétique : voir le  passage De la « Chanson de Roland », au roman courtois -Lancelot Tristan ou Perceval-, (Chrétien de Troyes)=Passage du héros épique ,le guerrier, au héros lyrique, l’amant-soupirant. (Même évolution de l’amour, sacrifié à l’honneur ,chez Corneille, sous l’instable règne de Louis XIII ,à la passion ravageant l’honneur et la raison, chez Racine, pendant “ Le plus long règne de l’histoire de France”) 

01:00:00 / Marx : les superstructures, incontournables comme “formes sous lesquelles les hommes prennent conscience de ce conflit*,et le mènent jusqu’au bout”(Préface de 1859 à la “Contribution…”   *(entre les forces productives et les rapports de production) 

01:02:00 / Proust, autrement plus marxiste que Foucault. 

01:02:30 / Le rapport négatif du nazisme à l’Etat : ”Il faut pulvériser l’Etat” (Hitler) 

01:03:30 / Nazisme : Approche libérale du travail, ’concurrence libre et non faussée’, gestion des ressources humaines /Open space = espace vital « la force par la joie » (Kraft Durch Freude, 1933) 

01:07:30 / Le cœur vert de l’Allemagne, origine des Francs. ‘Frei’, libre : celui qui par par le fer et le feu échappe à l’esclavage. (≠ Rousseau vers Hegel) 

01:11:00 / Questions du public

#6.5 • La Logique du Sujet face à la reconstitution du nazisme

00:01:20 / Exposition du plan 

00:02:30 / Hegel : "Tu ne pourras jamais être plus que ton temps, au mieux tu seras ton temps.", le présent historique partout et à toute époque comme horizon de toute “connaissance de soi’ 

00:05:30 / Bipolarité philosophique et historique  de notre cycle sur le sujet : leur implication mutuelle structurée par le couple substance-sujet, au stade pénultième de son développement : La modernité brute, entre savoir et non-savoir absolus. - Le griffon et la grue : alternance post-moderne entre l'illusoire ascension esthétique et son symétrique opposé la descente aux enfers politique : Avatars de cette structure matricielle. 

00:07:45 / La modernité / révolution industrielle anglaise et révolution politique française : la double genèse du pénultième rapport substance-sujet 

00:12:00 / Nerval : "Faire monter le griffon de la mer et faire descendre la grue du ciel". Mouvement dialectique du haut et du bas. Retour du refoulé/descente de l’essence vers l’existence. 

00:16:00 / Apocalypse : : "Le voici vaincu le serpent ancien qui accusait nos frères devant l'Eternel" / ("Femme, où sont ceux qui te condamnaient? Va, je ne te condamne pas non plus" (La femme adultère). 

00:18:55 / Ibn Battûta : explorateur arabe du XIVe siècle. 

00:26:30 / Hölderlin : "On peut aussi bien tomber vers le haut que vers le bas". 

00:28:10 / Aufhebung : supprimer et conserver ; Hegel : "Le fruit accomplit la fleur". 

00:29:30 / Evangile:: "Le fils de l'Homme est le Maître du sabbat.", "Je ne suis pas venu pour abolir la loi, mais pour l'accomplir" 

00:31:10 / Rousseau : "C'est vrai qu'il y a des hommes nés pour commander et d'autres pour obéir. C'est ce qu’Aristote écrit, mais il prend l'effet pour la cause car s'il y a des hommes esclaves par nature, c'est qu'ils ont été faits esclave contre nature." "La force a fait les premiers esclaves, leur lâcheté les a perpétués." Rétablissement de l'Histoire.  

00:32:10 / Christ : "Oui, Moïse a dit : œil pour œil, dent pour dent. Mais c'est parce que vous aviez le cœur dur." Introductiion d'une dimension historique. 

00:33:40 / Pourquoi tourner autour du pôt au lieu de s’emparer du “pôt aux roses”? Centre et périphérie. Hölderlin : "La promenade", ”Et la beauté qui sourd aux franges de l’Image toute première". - Lacan : La “chaîne du signifiant” 

00:37:30 / Hegel : Le savoir absolu se gagne lorsque le sujet réalise que l’auto-reconnaissance de ses déterminations implique le renoncement à l’imaginaire de sa Substance. 

00:39:30 / Concept des “vérités éternelles”, Descartes et Spinoza 

00:44:00 / Montesquieu : "Quand j'ai examiné les hommes, j'ai vu qu'ils n'étaient pas uniquement guidés par leur fantaisie" (L'Esprit des Lois) 

00:45:30 / Dé-substantialisation du monde par le christianisme. Laïcisation du rapport au monde, monde 'désanimé' 

00:49:00 / Alternance poïétique entre l’“éternel retour” de l’infinitude, propre au romantisme, (expression principielle de la modernité), et son refoulement dans l'enceinte du formalisme “néo-classique”. 

00:54:30 / Le siècle du Mal succède au “Mal du siècle" (nazisme du XXe) 

00:57:00 / Kant : "Rousseau est le Newton de la morale", Ordre des valeurs et ordre physique. 

01:00:00 / Rousseau : "Le plus fort n'est jamais assez fort, pour être toujours le maître s'il ne convertit sa force en droit et l'obéissance en devoir." (Contrat social) 

01:01:00 / Le savoir absolu, c'est réaliser que les jeux ne sont pas faits, leçon de la modernité. 3 approches possibles : position naturaliste (sciences cognitives, la Nature fait l'Homme), position théologique (la sur-nature, Dieu fait l'Homme), position anthropologique (modernité, l'Homme fait l'Homme) soit, deux “Déjà-là” renvoyés dos à dos par un “Se faisant".

#6.6 • La Logique du Sujet face à la reconstitution du nazisme

00:01:30 / Modernité 

00:02:40 / Jules César, Mankiewicz (1953) 

00:03:40 / Apparition de  'notre' modernité : révolution industrielle anglaise et révolution politique française 

00:05:00 / Hölderlin : (Un si) Ainsi, beaucoup lie et sépare le temps" (So bindet und scheidet Manches die Zeit) 

00:06:10 / Le Moyen-Age comme valeur esthétique, le gothique et ie roman,à Paris : Cathédrale de Paris, Saint-Germain-l'Auxerrois, Saint-Julien-le-Pauvre, Saint-Gervais, Saint-Merri, Saint-Eustache, etc. 

00:09:00 / Le savoir absolu, Hegel (La phénoménologie de l'Esprit) 

00:09:40 / Mathilde  Wesendonck 

00:09:55 / Wagner : "Le monde me doit ce dont j'ai besoin." 

00:12:20 / Nerval : " Je paraissais tous les soirs aux avant-scènes du théâtre en grande tenue de soupirant" (Sylvie) 

00:13:40 / Danger de l'accès au savoir absolu : engendrement symétrique d'un "je-ne-veux-pas-savoir" absolu. 

00:15:00 / Oui à la science,Non au scientisme. 

00:16:00 / Conflit de la révolution et de la contre-révolution (savoir vs. non-savoir).La conscience perd ses certitudes et gagne la vérité. 

00:18:15 / Stanley Kubrick, "2001, Odyssée de l'espace" 

00:18:55 / Théologie de la libération:Dieu comme résultat et non comme origine 

00:20:30 / Le mécanisme du refoulement freudien utilisé quant à sa forme,dans le champs historique,mais avec un contenu social:l’idéologie dominante refoulant l’être de classe, au NON-SAVOIR ABSOLU. 

00:20:45 / Exemples de ce qui est redoutable dans ce que les progrès de la science ont imposé aux certitudes de la conscience. 

00:20:50 / Pascal : penseur chrétien : "Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie." 

00:24:00 / La transcendance des religions du livre nées dans le désert. 

00:25:15 / Passage du géocentrisme à l'héliocentrisme.(l’univers)” est une sphère dont le centre est partout et la circonférence nulle part", Pascal 

00:30:00 / Rimbaud, Conte. Voir Atelier #3.5 : https://dominiquepagani.fr/conference... 

00:34:40 / William Wyler :"Vacances romaines" 

00:37:30 / Hegel : Principes de la philosophie du droit (1821), introduction. 

00:45:50 / "La musique savante manque à notre désir" (Rimbaud, Conte) 

00:47:30 / Désirer est un privilège. Les deux instances qui n'éprouvent pas le manque : le caillou et Dieu 

00:51:55 / Rimbaud : "Mouvement" 

00:58:40 / Le griffon et la grue 

00:59:10 / Entracte entre la Prise de la bastille et Waterloo (début de la domination anglo-saxonne sur le monde) : rien n'est encore joué. 

01:03:40 / Négation de la réalité : évasion systématiqueBaudelaire : "Il faut être toujours ivre, tout est là"Rimbaud : "Je n'ai jamais compris cette rage qu'il mettait toujours à vouloir s'évader" 

01:06:25 / Saint-Just : "Le bonheur est une idée neuve en Europe." 

01:06:35 / "Les veilles", anonyme Bonaventura,1802 (?Jean Paul, Hegel, Schelling?)"Tout n'est rien", "auto-dévoration", pure négativité. Mort immanente à chaque instant de la vie. 

01:11:50 / Pénultième stade de la conscience, avant que de comprendre qu'il n'y a pas de salut solitaire. 

01:13:15 / Rimbaud, “Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d'hommes.”/""Moi ! moi qui me suis dit mage ou ange, dispensé de toute morale, je suis rendu au     sol, avec un devoir à chercher, et la réalité rugueuse à étreindre ! Paysan !" 

01:14:10 / La crise du Coronavirus, cachant la crise du capitalisme. Déplacement freudien. Toujours la même crise qui se répète. 

01:18:25 / Questions du public

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